Andrée AUBERT

Je viens d'apprendre cette triste nouvelle par Maurice ,
mes sincères condoléances Gérard ,Jérôme ,et la famille .
Je partage votre peine
aurevoir ma copine DD

A ma grande sœur, tu me protégeais quand j'étais petite. On se chamaillait, on se contrariait, mais on était toujours là l'une pour l'autre. Continues de veiller sur moi de là où tu es. Je t'aime.

Dédée a grandi et a vecu à Saint-Savournin entourée de ses parents Jeannot et Henriette et de sa sœur adorée Paulette.

Sœur fusionnelle qu'elle n'a jamais quitté et avec qui elle a partagé un amour réciproque et inconditionnel.

Elle a rencontré Gérard, son mari qu elle aimait, qu'elle chérissait tant.
Soixante ans de mariage, soit six décennies d'amour, de complicité et de bonheur partagé.

De cet amour est né son fils unique, son enfant dieu : Jérôme.

Dédée a aussi vu son fils se
marier et aimer sa belle fille Ingrid.

Elle a eu cette immense joie d'être grand-mère d'un petit fils Hermann.

Et toutes ces qualités ont décuplé envers Hermann : une mamy bienveillante, généreuse et précieuse dans la vie de son petit-fils adoré.

Dédée a eu une vie bien remplie au cours de laquelle, elle a aimé et a été aimée par sa famille et ses amis.

Mais un portrait de Dédée sans évoquer son "Johnny Hallyday" son idole qu'elle a suivi toute sa vie ne serait pas complet. Et comme le dit son fils, il est sûr que là-haut, elle va aller faire un petit coucou à son idole et attendre pour assister à un de ses concerts au paradis.

Ce qu'elle nous laisse à tout jamais gravé dans nos mémoires, c'est sa beauté, son humour, sa joie de vivre , sa générosité, son sacré caractère et son extrême gentillesse.

Avec la cousine Simone, elles doivent certainement fumer des cigarettes au Paradis sans se cacher et sans qu'on les embête.

Tatie,
Tu étais pour tout le monde un personnage unique. Si pour beaucoup de personnes tu étais Dédée de Saint-Savournin, pour nous, tu étais tatie, notre tatie à Andrea et moi.
Depuis tout petit tu t'es occupé de nous et il faut dire que tu prenais la tâche à
cœur.
À chaque fois que nous montions chez vous, le programme était toujours plus
qu'attirant pour les gamins que nous étions. Tu nous réceptionnais avec tes
escargots à la persillade et après avoir mangé comme un régiment entier nous
allions regarder les westerns de tonton. Même après les avoir visionnés des
dizaines et des dizaines de fois, les David Crocket et les Charges héroïques
avait toujours la même saveur. Et c'était comme si nous les redécouvrions
pour la première fois. Ensuite, inspirés par les récits de John Wayne, nous
partions chasser des Indiens dans le jardin. Ou quand le temps s'y prêtait,
nous allions sauter dans ta piscine. Cette petite piscine qui avait fait notre
bonheur bien des étés. Tu nous courais après pour ne pas que nous la vidions
à force de plonger dedans. Enfin à la fin de la journée tu nous déposais au
judo.
Et ses journées, bien qu’identiques, étaient toutes plus parfaites les unes que les autres , et tonton et toi n'y étaient pas étrangers.
Cet amour que tu nous portais et cette bienveillance que tu nous manifestais,
on les retrouvait dans tes yeux. Tes yeux bleus qui me fascinaient tant ils
étaient clairs et je te l'ai souvent fait remarquer d'ailleurs.
Tout ce temps tu nous as considéré comme si nous étions plus que tes petits neveux et nous avons nous t'avons toujours considéré comme si tu étais plus qu'une simple tatie
J'espère que de là où tu es, tu continueras de veiller sur nous et un beau jour nous reverrons tes beaux yeux bleus.
Au revoir tatie, Andrea et moi t'aimons fort merci pour tout.
Andrea et Matteo tes petits neveux

Coucou Mamie,

Depuis aussi loin que je me rappelle, tu as toujours été ma deuxième maman.
Une personne hors du commun, qui a une place unique dans mon cœur et tu
m’as fait comprendre, mainte et mainte fois que j’avais la même place dans le
tien.

Cet amour que tu me portais, tu me le montrais avec des mots mais aussi
avec des petits gestes du quotidien qui disaient tout.

Comme quand tu prenais
le temps de préparer avec soin mes goûters préférés, des spéculos et du
nutella, une douceur simple mais tellement réconfortante.

Ou alors quand tu prenais le temps de me préparer, chaque mercredi mon repas préféré, c’était notre petit rituel. Tu savais me faire plaisir et je t’en remercie.

Tu étais aussi un tourbillon d’émotions. Tu pouvais rire et une minute après, tu
pouvais t’agacer, même s’il n’y avait rien de grave. Quand cela arrivait, avec
papy, on se lançait notre regard complice. On savait bien que tu allais vite retrouver ton calme. Et effectivement, après quelques minutes tu retrouvais ta tranquillité, comme si de rien n’était, et avec du recul, tu pouvais même en rire avec nous de tes petites colères. Derrière celles-ci, je sais qu’il y avait toujours de l’amour et de la bienveillance.

Mamie, merci pour ces belles années, pour tous nos jolis souvenirs que je
garderai en mémoire comme de précieux trésors.

Je sais que de là-haut , tu continueras toujours à veiller sur moi.

Bisous mamie, je t’aime.

Les cousines au bon temps du rock'n'roll (Stade de France 2010)

Nous avons partagé beaucoup de belles choses ensembles en famille, en congés, en virée à plan de campagne avec ton inséparable petite sœur où vous connaissiez toutes les boutiques même
que vous appeliez les vendeuse par leur prenom. Dé si tu nous vois d'où tu es, sache que tu nous manque déjà