Henri Gioani

Chers Annie, Sandrine et Philippe, Une journée où nous ne pouvons pas être avec vous, mais nous avons une pensée pour Henri et pour vous tous. Nous sommes de tout cœur avec vous, et regrettons beaucoup de ne pas être à vos côtés. Mon frère Paul souffrant d’une hernie discale est dans les Alpes et de notre côté la perte brutale et rapide de la sœur de mon épouse Lili nous contraint à des démarches aujourd’hui. Henri que nous appelions tous Riri était pour moi un grand frère. Agé de 18 ans et exilé à Lyon pour mes études dans une école de Métiers d’EDF, alors que nous venions de perdre notre père, il aidait et soutenait notre mère qui était seule avec mon jeune frère et il nous accompagnait dans les démarches et déplacements. C’est lui qui m’accompagnait ou venait me chercher à la gare, souvent avec sa 4L camionnette des Postes & Télécommunications. Il était toujours de bon conseil. Nous n’oublierons pas Riri. Il était aussi toujours présent lors des fêtes de famille où il contribuait à l’ambiance. Merci Riri. Nous vous embrassons. Bernard, Lili et Paul Bonnefoy.

Henri, Avec vos frères et sœurs, vous vous êtes montrés toujours unis, malgré vos différences : un si beau socle et chemin de vie pour nous tous. Vous avez toujours porté très haut les valeurs de la famille. La famille avant tout, en disant toujours "oui" quoi qu'il vous soit demandé, nous vous en remercions. Votre rayonnement de convivialité, d'amour de la vie et des autres, avec l'humour finement choisi au moment opportun pour faire tomber la tension, me laisse des souvenirs inoubliables. Merci Henri pour ce que vous m'avez apporté, et tout ce que vous avez su donner à mes enfants. Nous vous retrouverons là-haut, c'est sûr dans quelque temps et pour longtemps, Bien affectueusement Marie-Thérèse

Cher tonton Riri et parrain Tu viens de nous quitter presque 2 ans jour pour jour après ton frère Dédé, mon père et voilà que ressurgissent les jours heureux de mon enfance et adolescence. je n'oublierai jamais , même si une certaine distance nous séparait , les week end au cabanon tous réunis. Je nous revoie sur les rochers à pêcher les moules que j'aimais tant, c'était un vrai bonheur de sentir l'enthousiasme que tu y mettais. J'ai même pris le train toute seule de Lille à peine âgée de 17 ans pour venir passer quelques jours de vacances à Sainte Marthe. Et ces vacances à Saint Mathieu ! Quel plaisir d'être parmi vous , tu riais tout le temps, tu me faisais partager votre quotidien avec Philippe et Sandrine mes cousins. N'oublions pas les pique nique à La Couronne... Mais tout celà Annie ton épouse en était le maillon fort. Elle était une jeune tatie toujours prête à faire plaisir, dynamique , joviale....Et en ce jour j'ai une pensée profonde pour celle qui va devoir affronter la solitude et à qui je pense très fort. Riri de là haut n'oublie pas ta joie de vivre et partage la avec mon père. Paix à ton âme Martine