Quelle tristesse de perdre un papa. D'autant plus quand on devient "orphelin" ...
La disparition de nos proches nous rend parfois un peu égoïste, car elle génère de la tristesse, du vide, une certaine solitude, un manque assurément.
C'est avec la famille, les proches, les amis qui vont parler de nos défunts qu'on rend le souvenir présent. Ce souvenir mouille nos yeux, de joies, de bons moments qui refont surface mêlés à de la tristesse, ça c'est certain.
Jean s'en va, il rejoint son épouse bien aimée. Il sait que ses enfants ont été là pour lui, pour eux. Son âme s'élève, laissant la douleur sur terre.
Comme l'a si bien écrit Saint Augustin, il (ils) est là, juste à côté. Présent dans vos rires, vos souvenirs, lorsque vous serez réunis.
Je n'ai pu être présente pour les obsèques, mais je l'ai été par le cœur. Je n'oublie pas les bons moments partagés avec vous, l'accueil qui m'était réservé lorsque je venais passer des week-ends au Pharo, les souvenirs des Alpes... que de bons souvenirs.
Mes prières se joignent aux vôtres.
Je prie pour Jean, pour Eliane, leurs enfants et petits enfants.
Avec toute mon amitié.
Audrey